En 1978, c’est entre autres la mobilisation des salariés des raffineries qui a fait tomber le Shah d’Iran. Aujourd’hui, les mollahs risquent à leur tour de faire les frais de leur colère.
Les ouvriers de la pétrochimie se sont joints en début de semaine à la contestation nationale qui a suivi la mort d’une jeune Iranienne il y a un mois.